Les traités de Lumières: Le "Risale-i Nur" de Said an-Nursi (rahimahu Allah)
Les traités de Lumières: Le "Risale-i Nur" de Said an-Nursi (rahimahu Allah)
Le Risale-i Nur fut écrit dans le but d'interpréter et d'expliquer les vérités coraniques ainsi que la foi à l'homme moderne, qui est dérouté face à l'assaut des penseurs matérialistes, afin qu'il puisse atteindre la véritable foi, loin des doutes et des incertitudes qui le secouent et le fragilisent face à l'ennemi. Le Risale-i Nur démontre la supériorité du Coran dans tous ses aspects et est en soi une réfutation de la philosophie matérialiste de l'Occident. Pour parer à un possible malentendu, il convient de rappeler ici que Bediuzzaman n'a jamais été un anti-Occident en tant que tel. Il nourrissait un grand espoir pour le salut de toute l'humanité. Il était simplement intransigeant contre l'athéisme et les philosophies matérialistes telles que le Positivisme et le Naturalisme, qui utilisent la science pour justifier leurs idées.
Devenu le nouveau Said, Bediuzzaman se plongea dans l'étude du Coran, recherchant une voie de relier ses vérités à l'homme moderne. A Barla, dans son isolement, il commença à écrire des traités expliquant et prouvant ces vérités, car le Coran lui-même et ses vérités étaient désormais soumis à des attaques directes.
Le premier de ces traités concernait la résurrection des morts, qui, dans un style unique à Bediuzzaman, prouve de façon rationnelle la résurrection du corps, là où même les plus grands savants avaient admis leur ignorance. Il y décrit sa méthode d'explication en trois étapes : premièrement, l'existence Dieu est prouvée, puis Ses Noms et Ses Attributs, et enfin la résurrection des morts est " construite " sur ces principes et est alors prouvée. Bediuzzaman ne s'attribuait pas ses écrits, mais déclarait plutôt qu'ils émergeaient du Coran lui-même et qu'ils étaient " des rayons de lumière émanant de
Les traités de Lumières: Le "Risale-i Nur" de Said an-Nursi (rahimahu Allah)
Le Risale-i Nur fut écrit dans le but d'interpréter et d'expliquer les vérités coraniques ainsi que la foi à l'homme moderne, qui est dérouté face à l'assaut des penseurs matérialistes, afin qu'il puisse atteindre la véritable foi, loin des doutes et des incertitudes qui le secouent et le fragilisent face à l'ennemi. Le Risale-i Nur démontre la supériorité du Coran dans tous ses aspects et est en soi une réfutation de la philosophie matérialiste de l'Occident. Pour parer à un possible malentendu, il convient de rappeler ici que Bediuzzaman n'a jamais été un anti-Occident en tant que tel. Il nourrissait un grand espoir pour le salut de toute l'humanité. Il était simplement intransigeant contre l'athéisme et les philosophies matérialistes telles que le Positivisme et le Naturalisme, qui utilisent la science pour justifier leurs idées.
Devenu le nouveau Said, Bediuzzaman se plongea dans l'étude du Coran, recherchant une voie de relier ses vérités à l'homme moderne. A Barla, dans son isolement, il commença à écrire des traités expliquant et prouvant ces vérités, car le Coran lui-même et ses vérités étaient désormais soumis à des attaques directes.
Le premier de ces traités concernait la résurrection des morts, qui, dans un style unique à Bediuzzaman, prouve de façon rationnelle la résurrection du corps, là où même les plus grands savants avaient admis leur ignorance. Il y décrit sa méthode d'explication en trois étapes : premièrement, l'existence Dieu est prouvée, puis Ses Noms et Ses Attributs, et enfin la résurrection des morts est " construite " sur ces principes et est alors prouvée. Bediuzzaman ne s'attribuait pas ses écrits, mais déclarait plutôt qu'ils émergeaient du Coran lui-même et qu'ils étaient " des rayons de lumière émanant de