GuL-i YaReN
Well-known member
Al Bûkhari a rapporté du hadith de Anas ibn Malik (ra) qu’il a dit dans la description du Messager ce qui signifie : “Il était le meilleur des gens de par sa création et son comportement”.
Parmi son comportement, il y a la totale éloquence, la raison parfaite, la conduite exemplaire, les caractères louables ainsi que l’exemption de défauts. Il agissait en bien avec celui qui agissait en mal, il maintenait les liens avec celui qui les rompait avec lui. Le surcroît de tort ne l’augmentait qu’en patience et sagesse.
Le Prophète était parmi les gens celui qui faisait le plus preuve de générosité, celui qui était le plus accueillant, et le plus véridique dans ses propos.
Le Prophète supportait leur nuisance alors qu’il était le plus courageux des créatures de Dieu dans l’absolu et qu’il lui avait été donné la force de quarante hommes. Malgré cela, le pardon était son comportement, la patience était son caractère, il supportait la nuisance des autres, telle était sa conduite.
Al Bûkhari a ainsi rapporté du fils d'Omar, que Dieu les agrée tous deux, qu’il a dit : « Je n’ai vu personne qui soit plus courageux, plus prompt à porter le secours ni plus satisfait de la destinée de Dieu , que le Messager de Dieu ».
Parmi son comportement, il y a la totale éloquence, la raison parfaite, la conduite exemplaire, les caractères louables ainsi que l’exemption de défauts. Il agissait en bien avec celui qui agissait en mal, il maintenait les liens avec celui qui les rompait avec lui. Le surcroît de tort ne l’augmentait qu’en patience et sagesse.
Le Prophète était parmi les gens celui qui faisait le plus preuve de générosité, celui qui était le plus accueillant, et le plus véridique dans ses propos.
Le Prophète supportait leur nuisance alors qu’il était le plus courageux des créatures de Dieu dans l’absolu et qu’il lui avait été donné la force de quarante hommes. Malgré cela, le pardon était son comportement, la patience était son caractère, il supportait la nuisance des autres, telle était sa conduite.
Al Bûkhari a ainsi rapporté du fils d'Omar, que Dieu les agrée tous deux, qu’il a dit : « Je n’ai vu personne qui soit plus courageux, plus prompt à porter le secours ni plus satisfait de la destinée de Dieu , que le Messager de Dieu ».