Konuya cevap cer

ONZIEME REMEDE: O frère malade impa¬tient! Bien que la maladie te donne une souf¬france présente, elle donne, avec le temps passé, depuis son début jusqu'à maintenant, un plaisir spirituel et comme récompense, un plaisir psychique. Durant le temps qui est postérieur à ce jour, plutôt à cette heure, il n'y a pas de maladie, par conséquent, il n'y a que du néant, donc il n'y a pas de souffrance. S'il n'y a pas de souffrance, il ne peut y avoir de tristesse; comme tu te fais des illusions, l'impa¬tience t'arrive. En effet, puisque tout le temps de la maladie matérielle précédant ce jour est parti, sa souffrance aussi est partie avec lui. Au lieu qu'ils te donnent l'avantage et la joie, souf¬frir et s'impatienter en pensant à eux, c' est de la folie. Dis à présent: «Les jours à venir ne sont pas encore venus"; penser à eux dès main¬tenant, penser à un jour inexistant, à une ma¬ladie inexistante, à une souffrance inexistante et souffrir en y pensant avec illusion, en s'im-patientant, croire donner existence à trois niveaux du néant, qu'est-ce si ce n'est une folie? Quant aux temps de maladie qui précèdent cette heure, puisqu'ils donnent de la joie et que le temps postérieur à cette heure est néant, la maladie et la souffrance le sont également; ne disperse pas ainsi à droite et à gauche toute la force de la patience que l'Etre Absolu t'a don¬née; utilise-la contre la souffrance de cette heure-ci; patiente en disant "O l'Etre Patient!" 

 

 

DOUZIEME REMEDE: O malade qui es privé d'adoration et de prières continuelles à cause de la maladie et qui t' attristes de ce manque! Sache qu' il est établi selon le Hadith: "Pendant sa maladie, le croyant pieux reçoit la récompense de l'adoration habituelle, conti¬nuelle qu'il accomplissait et qu'il ne peut pas faire en raison de sa maladie." Si un malade accomplit ses obligations; autant que possible, avec patience et confiance, en les accomplis¬sant d'une façon sincère, la maladie prend la place des autres "sunnas" pendant la maladie grave. De plus, la maladie fait ressentir chez l'homme son impuissance et sa faiblesse. Avec le langage de cette impuissance et de cette faib¬lesse, elle pousse à invoquer en état et en acte. L'Etre Absolu a donné à l'homme une impuis¬sance illimitée et une faiblesse sans fin pour qu'il prie, en implorant d'une façon permanente auprès de la cour divine. 

c'est-à-dire: "Si vous n'aviez pas la prière, quelle importance auriez-vous?". Avec le mys¬tère du verset, comme une des causes de l'im¬ploration et de la supplication sincères qui sont la sagesse de la création de l'homme et la raison de sa valeur est la maladie, il y a la maladie et de ce point de vue, il faut remercier Dieu, au lieu de se plaindre et après avoir obtenu le rétablissement, il ne faut pas fermer la vanne de l'imploration que la maladie avait ouverte. 

 

 

TREIZIEME REMEDE: 0 pauvre homme qui te plains de la maladie! Pour certains, la maladie est un trésor important; un divirf cadeau très précieux, chaque malade peut con¬sidérer sa maladie de cette sorte. Puisque la fin de la vie n'est pas fixée; pour que l'Etre Absolu sauve l'homme du désespoir absolu et de l'in¬souciance absolue, pour le tenir entre la peur et l'espérance et aussi pour le protéger ici-bas et dans l'au-delà, avec sagesse, Il a caché la fin de la vie. Puisque celle-ci peut arriver à tout moment, si elle saisit l'homme dans l'insou¬ciance, elle peut nuire beaucoup à sa vie éternelle. La maladie fait disparaître l'insouciance et fait penser à l'au-delà, elle fait rappeler la mort; par conséquent, l'homme se prépare. Parfois il a un tel bénéfice qu'il atteint en vingt jours ce qu'il ne pourrait pas gagner en vingt ans. 

Il y avait deux jeunes parmi nos amis -qu'ils soient bénis par Dieu-. L'un était Sabri d'Ilama, l'autre Vezirzade Mustafa d'Islam Koy Je les voyais avec étonnement au rang le plus avancé dans la fidélité et le service de la foi bien que ces personnes soient illettrées parmi mes élèves!... Je n'ai pas saisi la sagesse d'une telle situation. Après leur décès, j'ai compris que chacun d'entre eux avait une grave mala¬die. Guidé par cette maladie, contrairement aux jeunes qui sont insouciants et qui ne s'ac¬quittent pas d'obligations, ils se sont trouvés dans une très importante piété, dans un service très précieux et dans une situation très béné¬fique de l'au-delà. Si Dieu le veut, la peine de deux ans de maladie est devenue la cause du bonheur des millions d'années de la vie éter¬nelle. Je comprends maintenant que la prière que je faisais parfois pour leur rétablissement 

fut une malédiction du point de vue d'ici-bas. Si Dieu le veut, cette imploration-là fut acceptée pour la félicité de la vie de l'au-delà. 

Voilà, ces deux personnes ont trouvé un bénéfice qu'on pourrait gagner, à mon avis, avec dix ans de piété. Si les deux se jetaient comme certains jeunes dans l'insouciance et la débauche en comptant sur leur santé et leur jeunesse; alors que la mort les observait, et les aurait rattrapés dans les saletés des péchés, ils auraient fait de leurs sépulcres un nid de scor¬pions et de serpents au lieu d'en faire un trésor des lumières. Puisque les maladies ont de tels bénéfices, au lieu de s'en plaindre; on doit s'en remettre plutôt à la miséricorde divine par la confiance en Dieu et la patience en Le remer¬ciant. 

 

 

QUATORZIEME REMEDE: O malade dont l'œil a subi la cataracte! Si tu savais quelle lumière et quel œil spirituel il y a sous le voile qui arrive à l'œil des gens de foi, tu dirais: "Mille merci à mon Seigneur Miséricordieux." Pour expliquer ce remède, je vais raconter un événement que voici: 

Les yeux de la tante de Suleyman de Barla qui m'a servi huit ans avec parfait dévouement sans me blesser se sont fermés une fois. En por¬tant sa bonne intention à mon égard cent fois plus, cette femme pieuse, en disant: "Implore pour que mes yeux soient rouverts." Elle m'a attrapé à la porte de la Mosquée. Quant à moi, en prenant la piété de cette femme illuminée et bénie comme intercession à ma prière, j'ai sup¬plié en disant: "O mon Seigneur! Ouvre ses yeux au respect de sa piété." Le deuxième jour, un ophtalmologue de Burdur est venu, il lui a ouvert les yeux. Quarante jours après, ses yeux se sont refermés. J'ai été très touché. J'ai beau¬coup prié... Si Dieu le veut, cette prière-là est acceptée pour son au-delà. Sinon ma prière serait une malédiction complètement injuste pour elle. Parce qu'il restait quarante jours pour sa mort. Quarante jours après -qu'elle soit bénie-, elle est décédée. Au lieu du regard triste de l'œil vieilli, sensible aux vignes de Barla quarante jours; de son sépulcre, cette défunte a gagné le regard des vignes de quarante mille jours. Parce que sa foi était forte et sa piété intense. Oui, si l'œil d'un croyant reçoit la cataracte et qu'il entre dans le sépulcre ayant l'œil fermé, selon l'intensité de sa foi, plus que les gens du tombeau, il peut soutenir du regard la lumière de l'au-delà. Comme nous voyons beaucoup de choses dans ce monde, les croyants aveugles ne les voient pas; dans la tombe, si ces aveugles sont partis avec la foi, ils voient plus intensément, même davantage que les gens des tombes. De même qu'on observe avec les jumelles qui montrent ce qui est le plus lointain, selon leurs niveaux, dans leurs tombes, ils observent en regardant comme au cinéma les vignes du Paradis. 

Voilà, un œil très lumineux et bien que sous terre, qui verra et regardera le Paradis qui est au dessus des cieux, tu peux le trouver avec remerciement et patience sous le voile de ton œil. Voilà, l'ophtalmologue qui peut enlever ce voile de ton œil et qui te fera regarder avec un tel œil, c' est le Sage Coran. 

 

 

QUINZIEME REMEDE: 0 malade qui gémis! Ne dis plus "ouf!" en regardant l'apparence de la maladie. Regarde son sens, dis "oh!" Si le sens de la maladie n'était pas une bonne chose, le Créateur Miséricordieux ne donnerait pas les maladies à ses serviteurs qu'il icultés sont les meilleurs des gens". D'abord, les prophètes, à leur tête, le Prophète Job (paix sur lui), puis les gens pieux ont con¬sidéré comme une adoration sincère et ont remercié avec patience comme un cadeau du Miséricordieux pour chacune des maladies dont ils ont souffert. Ils les ont regardées comme une opération chirurgicale provenant de la grâce du Créateur Miséricordieux. 0 malade, toi qui gémis! Remercie avec patience si tu veux faire partie du convoi lumineux. Sinon, si tu t'en plains, ils ne te prendront pas dans leur convoi. Tu tomberas dans le fossé des gens insouciants! Tu iras dans un chemin obscur. Oui, il y a une partie des maladies qui, si elles résultent de la mort, causent le degré d'une sainteté comme la valeur en quelque sorte du martyr spirituel. Par exemple: 

Comme des gens qui décèdent avec des maladies qui viennent de l'accouchement d'enfant (Note), de colique, de noyade, de feu et de peste sont martyres spirituels, il y a beaucoup de maladies bénies qui font gagner avec la mort le degré de sainteté. Aussi, comme la maladie diminue l'amour de ce monde et de ses attachements, elle diminue avec l'idée de la mort pour les gens attachés au monde, la sépa¬ration très triste et douloureuse, même parfois elle la fait aimer.


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